Maurizio, 47 ans, perd progressivement le contact avec sa fille après avoir quitté son épouse en 2019. Manipulé par son ex-femme et confronté à de fausses accusations d’abus sexuel, il fait face à la DGEJ et à une procédure kafkaïenne sans preuves réelles. Après de longues batailles judiciaires, il obtient la garde de son fils mais reste coupé de sa fille depuis cinq ans. Sa lutte, qui lui a coûté plus de 100 000 francs et beaucoup de son énergie vitale, lui laisse un profond sentiment d’injustice et d’amertume.
CARLOS
En 2008, Carlos, 48 ans, entame une relation et devient père d’une fille, Marie, en 2009. Après une séparation difficile en 2012, son ex-compagne l’accuse injustement, l’empêchant de voir leur fille. S’ensuit une longue bataille judiciaire marquée par une détention préventive de 15 mois avant son acquittement en 2019 et 2020. Après des années de lutte et de thérapie familiale, Carlos a pu renouer le contact avec sa fille en 2023, malgré les blessures du passé
CÉDRIC
Cédric, jeune père vaudois, voit sa relation avec ses deux fils se dégrader après une séparation conflictuelle avec leur mère. Malgré des démarches pour maintenir des liens (médiations, thérapies, actions en justice), il se heurte à de nombreux obstacles : déménagement de son ex, horaires de visite difficiles, interventions sociales, expertise pédopsychiatrique défavorable en raison du conflit parental.
Eric
Éric, 64 ans, a vu sa vie basculer après une séparation initiée en secret par sa femme. Accusé à tort d’abus sexuels sur sa fille, il est privé de tout contact pendant plusieurs mois. Blanchi par la justice, il doit néanmoins poursuivre les visites sous surveillance pendant plus d’un an